Roy - Guillic
Roy : Bonjour Guillic.
Guillic : Oh ! Bonjour Sire, que me vaut l’honneur de votre visite ?
Roy : Soyons francs ! Je venais vous remercier de m’avoir sauvé sur le champ de bataille.
Guillic : Vous savez, j’ai l’habitude, avec ma dernière équipe… Mon chef était ingérable quand il piquait des crises…
Roy : Pardon ?
Guillic : non, rien.
Roy : C’est vrai que vous venez d’ailleurs.
Guillic : Oui, j’aurais voulu continuer ma vie avec eux, mais le sort en a décidé autrement, enfin surtout sa décision.
Roy : Une décision ?
Guillic : Je vous embête avec mes histoires.
Roy : Non non, dites-moi !
Guillic : Mon chef d’armée a rencontré notre roi dans un bar, il était même venu en retard parce que son cheval s’est fait tirer dessus par une vieille archère à moitié aveugle, on ne l’a jamais cru mais il a eu des preuves ensuite.
Roy : … C’est particulier.
Guillic : Et bien le chef d’armée a commencé des négociations pour une remise en valeur de l’armée avec un drapeau bien particulier, signe de reconnaissance.
Roy : Et donc ?
Guillic : Ca a mal tourné, le chef d’armée a voulu prendre les armes, et sur un coup de tête, le chancelier a incanté un sort et toute l’armée s’est retrouvée dans divers endroits du monde.
Roy : Votre chef d’armée doit être… Particulier.
Guillic : Ses décisions et son charisme l’ont poussé à nous commander, mais j’avoue que par moments… Enfin, désolé de vous avoir fait perdre du temps.
Roy : Vous savez, je n’ai pas beaucoup l’occasion de discuter, j’aime bien me sentir proche de mon armée, je ne me sens pas comme un roi, juste comme un chef, rien de plus.
Guillic : …
Roy Part
Guillic : Je pense que vous êtes aussi gentil… Très certainement pas aussi fort, mais quand même plus intelligent.
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Zunashy, chef de la Zunarmy.