Calcias claqua légèrement la langue quand sa collègue lui expliqua sa propre situation, et ce qu'elle en pensait. Inutiles, et incapables de faire quoi que ce soit. Cela résumait plutôt bien les deux alliés.
Il n'était pas du tout d'accord avec sa vision des choses concernant le fait de mourir pour des concepts, mais préféra ne pas relever. Après tout, s'il l'appliquait volontiers à lui-même et en comprenait le principe, il ne souhaitait pas cela pour ceux qu'il souhaitait protéger.
Pour lui, c'était un dilemme plus que simple à résoudre. Les arguments de Signy tenaient la route, mais il ignora la menace des Templiers qui risqueraient d'attaquer en représailles.
Péniblement, Calcias se releva, et reprit sa lame, bien décidé à au moins se tenir au courant de ce qu'il se passait exactement, et à intervenir en cas de besoin. Du mieux qu'il pouvait, en tout cas.
- Si aucun de nous deux n'est en mesure de se battre, c'est à moi d'y aller, alors.
Cependant, il remarqua bien vite la réaction de Signy, en larmes, et qui se recroquevilla. C'était... lui qui la faisait pleurer ? Quelque peu gêné, il s'approcha d'elle et se mit à son niveau, avant de poser sa main libre sur le genou de la stratège.
- D'accord, d'accord. Si vous insistez, je n'irais pas. Ce n'est pas la peine de vous mettre dans des états pareils... Bon.
Quelque peu dépité, il rendit a son arme son aspect normal, rendant à la nature toute la magie qu'elle abritait, avant de la ranger dans son fourreau, pour prouver sa bonne foi. il essayait de se persuader que le chef et Aleister étaient assez forts pour se débrouiller.
Mais il ne pouvait juste pas laisser Signy dans cet état. Après s'être gratté la nuque en se demandant ce qu'il pouvait faire pour la rassurer, il vit un de ses feu-follets lui passer devant les yeux, avant de se désagréger doucement, ce qui lui donna une idée.
Cela fonctionnait plutôt bien pour les enfants, auparavant. L'épéiste entoura de ses mains une des volutes encore présentes, et la présenta à la jeune femme, pour tenter de lui remonter le moral.
- Elle ne vous fera pas de mal. Comme personne ici.
Juste après ces mots, une nouvelle clameur retentit. Cela l'inquiétait de plus en plus...
- Je vous en prie, venez. Il faudrait au moins voir ce qu'il se passe, si ce n'est pas pour combattre.
Il n'était pas du tout d'accord avec sa vision des choses concernant le fait de mourir pour des concepts, mais préféra ne pas relever. Après tout, s'il l'appliquait volontiers à lui-même et en comprenait le principe, il ne souhaitait pas cela pour ceux qu'il souhaitait protéger.
Pour lui, c'était un dilemme plus que simple à résoudre. Les arguments de Signy tenaient la route, mais il ignora la menace des Templiers qui risqueraient d'attaquer en représailles.
Péniblement, Calcias se releva, et reprit sa lame, bien décidé à au moins se tenir au courant de ce qu'il se passait exactement, et à intervenir en cas de besoin. Du mieux qu'il pouvait, en tout cas.
- Si aucun de nous deux n'est en mesure de se battre, c'est à moi d'y aller, alors.
Cependant, il remarqua bien vite la réaction de Signy, en larmes, et qui se recroquevilla. C'était... lui qui la faisait pleurer ? Quelque peu gêné, il s'approcha d'elle et se mit à son niveau, avant de poser sa main libre sur le genou de la stratège.
- D'accord, d'accord. Si vous insistez, je n'irais pas. Ce n'est pas la peine de vous mettre dans des états pareils... Bon.
Quelque peu dépité, il rendit a son arme son aspect normal, rendant à la nature toute la magie qu'elle abritait, avant de la ranger dans son fourreau, pour prouver sa bonne foi. il essayait de se persuader que le chef et Aleister étaient assez forts pour se débrouiller.
Mais il ne pouvait juste pas laisser Signy dans cet état. Après s'être gratté la nuque en se demandant ce qu'il pouvait faire pour la rassurer, il vit un de ses feu-follets lui passer devant les yeux, avant de se désagréger doucement, ce qui lui donna une idée.
Cela fonctionnait plutôt bien pour les enfants, auparavant. L'épéiste entoura de ses mains une des volutes encore présentes, et la présenta à la jeune femme, pour tenter de lui remonter le moral.
- Elle ne vous fera pas de mal. Comme personne ici.
Juste après ces mots, une nouvelle clameur retentit. Cela l'inquiétait de plus en plus...
- Je vous en prie, venez. Il faudrait au moins voir ce qu'il se passe, si ce n'est pas pour combattre.