Odonga est le continent situé au sud du continent de Terra.
Comme il est le plus exposé aux rayons du soleil, il est aussi le continent le plus chaud. Ses habitants ont une peau plus foncée que ceux des autres régions, allant d’une peau matte à une peau noire. Mais bien sûr, on retrouve aussi des métis, le métissage ayant commencé d’ailleurs bien avant le cataclysme même qui propulsa les continents dans les cieux.
Odonga est sans nulle doute le continent le plus riche. En tout cas, ses sols regorgent de ressources naturelles plus ou moins précieuses, telles que les minerais et le fer, essentiels à la création des alliages armant les coques des aéronefs, mais aussi des bois rares, de l’or ou encore des pierres précieuses.
Hélas, cette richesse est aussi la malédiction d’Odonga : de tout temps, déjà avant même le cataclysme, bien des nations d’autres continents, plus avancés techniquement, entreprirent de coloniser ses terres afin d’y asseoir un commerce prospère. Le cataclysme et l’envol des continents n’a fait qu’aggraver cela car, avec le développement des aéronefs et le besoin d’alliages pour leurs coques, ce sont presque tous les autres continents qui cherchèrent à avoir la mainmise sur les ressources en fer et minerais d’Odonga. De puissantes nations sont ainsi entrées en conflit, sur les terres même d’Odonga, entraînant de multiples guerres qui défigurèrent le continent des siècles durant. Aujourd’hui la majorité des alliages fabriqués pour les aéronefs proviennent d’ingrédients extraits des sols d’Odonga, mais au prix de guerres qui, encore aujourd’hui, se poursuivent, bien que plus sporadiques.
Influencé par les croyances des autres continents, Odonga a su garder ses coutumes ancestrales, et ses habitants évoluent ainsi de nos jours entre une certaine modernité apportée par les autres continents et des traditions qu’ils ont su préserver.
Le pays de Hatméhit est sans nul doute le centre économique et culturel d’Odonga. Ce pays, le plus épargné par les guerres (ou le moins touché, c’est selon) est aussi celui qui a conclu le plus de traités avec les puissances étrangères. Pourtant, malgré ses relations avec des nations des autres continents, il est notable qu’il demeure de nos jours le pays qui a su le mieux préserver ses traditions antiques, avec notamment un culte entier toujours d’actualité, et dont l’influence est encore aujourd’hui de première importance à travers tout le pays. Ses habitants sont dès leur enfance éduqués selon les traditions ancestrales, tout en étant éveillés par l’apprentissage de plusieurs langues, locales comme internationales.
Comme il est le plus exposé aux rayons du soleil, il est aussi le continent le plus chaud. Ses habitants ont une peau plus foncée que ceux des autres régions, allant d’une peau matte à une peau noire. Mais bien sûr, on retrouve aussi des métis, le métissage ayant commencé d’ailleurs bien avant le cataclysme même qui propulsa les continents dans les cieux.
Odonga est sans nulle doute le continent le plus riche. En tout cas, ses sols regorgent de ressources naturelles plus ou moins précieuses, telles que les minerais et le fer, essentiels à la création des alliages armant les coques des aéronefs, mais aussi des bois rares, de l’or ou encore des pierres précieuses.
Hélas, cette richesse est aussi la malédiction d’Odonga : de tout temps, déjà avant même le cataclysme, bien des nations d’autres continents, plus avancés techniquement, entreprirent de coloniser ses terres afin d’y asseoir un commerce prospère. Le cataclysme et l’envol des continents n’a fait qu’aggraver cela car, avec le développement des aéronefs et le besoin d’alliages pour leurs coques, ce sont presque tous les autres continents qui cherchèrent à avoir la mainmise sur les ressources en fer et minerais d’Odonga. De puissantes nations sont ainsi entrées en conflit, sur les terres même d’Odonga, entraînant de multiples guerres qui défigurèrent le continent des siècles durant. Aujourd’hui la majorité des alliages fabriqués pour les aéronefs proviennent d’ingrédients extraits des sols d’Odonga, mais au prix de guerres qui, encore aujourd’hui, se poursuivent, bien que plus sporadiques.
Influencé par les croyances des autres continents, Odonga a su garder ses coutumes ancestrales, et ses habitants évoluent ainsi de nos jours entre une certaine modernité apportée par les autres continents et des traditions qu’ils ont su préserver.
Le pays de Hatméhit est sans nul doute le centre économique et culturel d’Odonga. Ce pays, le plus épargné par les guerres (ou le moins touché, c’est selon) est aussi celui qui a conclu le plus de traités avec les puissances étrangères. Pourtant, malgré ses relations avec des nations des autres continents, il est notable qu’il demeure de nos jours le pays qui a su le mieux préserver ses traditions antiques, avec notamment un culte entier toujours d’actualité, et dont l’influence est encore aujourd’hui de première importance à travers tout le pays. Ses habitants sont dès leur enfance éduqués selon les traditions ancestrales, tout en étant éveillés par l’apprentissage de plusieurs langues, locales comme internationales.