Xena : Cessez le feu immédiatement ! Si vous ne faites pas ce que je vous dis, j’exécute votre employeur, et je doute que vous aimeriez entacher votre réputation avec ce genre d'échec, alors je vous conseille de déposer les armes tout de suite, je jure que je n'hésiterais pas à trancher la gorge de votre employeur William ici présent au moindre faux pas !
https://www.youtube.com/watch?v=4ANaEsE5bdI
Néo, pensées : Ouf ! Alors, ça y est ? Ainsi donc, leur chef était… Wiliam ? Parbleu, il a rudement bien joué son coup ! Je n’aurais jamais cru ça de lui…
Néo ne baissa pas sa garde pour autant. Le combat n’était pas encore terminé, il ne le serait que lorsque l’ennemi aurait accepté de partir en échange de la vie de leur chef.
Bandit : Mais…
Combattant : Qu’est-ce que vous racontez ? Ce n’est qu’un valet ! Il ne peut pas être notre employeur !
Épéiste : Bah oui, c’est logique, c’est une ruse de notre ennemi pour nous forcer à rendre les armes !
Chevalier : Je n’en suis pas si sûr. Après tout, nous ignorons qui est notre employeur…
Voleur : Tu voudrais qu’on aille demander au boss ?
Hors-la-loi : On ne va quand même pas déranger le chef juste pour ça ! Moi je suis sûr que…
??? : Qu’est-ce qui se passe ici ? Pourquoi vous arrêtez-vous de vous battre ?
Combattant : Chef ! Chef Moloch !
Un homme sortit de la pénombre. Il s’avança en marchant, calmement. Néo, jaugeant rapidement sa force, constata qu’il était de la classe supérieure ! Le chef des mercenaires de Gaïa déglutit. En aucun cas, il ne faudrait affronter ce type, il était bien trop fort même pour eux tous réunis !
Moloch, T2 Héros : Eh bien ? J’attends, que se passe-t-il ?
Voleur : Il semblerait qu’ils aient trouvé notre employeur, chef !
Moloch : Ah, vraiment ?
Moloch regarda en direction de la porte principale, et vit Xena et Wiliam. Ce dernier détourna le regard, comme honteux. Moloch s’exclama.
Moloch : Ah ! Alors comme ça, ta couverture a fini par sauter ? Je n’aurais jamais cru cela possible… Mais bordel, quelle erreur grossière tu as pu commettre ? J’étais persuadé que tu ne te ferais pas prendre, c’est pour ça que j’avais accepté ce contrat risqué…
Épéiste : Chef Moloch ! Alors, ce type est bien notre employeur secret ?
Moloch : Oui ! Enfin, sauf que le secret est tombé désormais. Jeune fille, que demandes-tu ? Que nous capitulions, c’est ça ? En échange tu laisseras la vie sauve à Wiliam ? Bah ! Bouah ah ah ah !
Hors-la-loi : Pourquoi vous riez, chef ?
Moloch : En l’état actuel des choses… Nous n’avons pas de marge de manœuvre. Impossible de tenter de sauver Wiliam, cette donzelle le tuerait avant que nous ne les atteignons. Si seulement nous étions en plein jour, encore, nous aurions pu utiliser nos balistes… Mais bon, tant pis ! On ne pourra pas le sauver ! Cependant, Wiliam, tu restes seul décideur… Que décides-tu ? Veux-tu qu’on accepte les conditions de l’ennemi ? Ou bien, préfères-tu te sacrifier, pour que l’on puisse continuer le combat ?
Le sang de Néo se glaça, toutefois, il se maîtrisa pour ne rien laisser paraître. Si Wiliam était prêt à se sacrifier, tout était perdu.
Wiliam : Je… Je renonce… Je ne veux pas mourir ! Je suis désolé, Moloch… Vous devrez vous contenter de l’acompte que je vous ai versé… J’espère que vous saurez me pardonner…
Moloch : Bouah ah ah ! Ne t’en fais pas, mon vieux ! J’aurais fait le même choix que toi, à ta place ! Je ne suis pas fou ! L’acompte ne suffira pas à remplacer les pertes que nous avons subies… Mais bon, ça fait partie du job : il y a des hauts, et des bas… Les gars, on remballe ! Partez d’ici tout de suite ! On se retrouve au point que vous savez.
https://www.youtube.com/watch?v=yiZPu7qG0p8
Les ennemis retournèrent alors dans les épaisses ténèbres de la nuit… Néo poussa, en son fort intérieur, un profond soupir de soulagement.
Moloch fut le dernier à partir. Il s’assurait que tous ses hommes soient partis avant lui.
Moloch : Si j’ai bien compris… Vous êtes la Milice de Gaïa ?
Néo : Oui. Enfin, nous avons subi quelques petits changements, mais… Oui, on peut dire que nous sommes toujours la Milice de Gaïa. Et vous ? Vous êtes les mercenaires de Moloch, c’est ça ?
Moloch : Bouah ah ah ! Non, en fait, j’ai repris le groupe de mon père. Les mercenaires de Cipion. Et donc, je suis Moloch, leur chef. Chez vous, c’est toi le chef, je parie ?
Néo : Eh bien… Oui. Enfin, je ne suis pas seul, nous sommes deux.
Moloch : Alors, cette dame est aussi la cheftaine ! J’hésitais quelque peu. C’est drôle, ça, un groupe avec deux têtes… Vous arrivez à vous entendre ?
Néo : Il faut croire…
Moloch : Bouah ah ah ! Eh bien… Mercenaires de Gaïa, j’espère qu’on se reverra un jour. Dans des circonstances moins tendues peut-être. J’aimerais me mesurer à vous, pour voir lequel d’entre nous est le plus fort. Pour l’heure, je dois partir. Au revoir !
Néo : Au revoir.
Et Moloch disparut, à son tour, dans les ténèbres…
Néo, pensées : Pfiou ! Cela aurait pu très mal tourner ! C’est drôle, cette discussion que nous avons eu… Il n’est peut-être pas mauvais, au fond. C’est vrai que, mercenaire, ce n’est pas un métier facile…
Néo prit enfin le luxe d’abaisser ses armes. Le calme retombé, il se rendit compte qu’il avait des courbatures à force de s’être battu de nuit, au lieu de dormir. Il s’étira longuement afin de se remettre d’aplomb. Le combat était terminé, et la mission était un succès : leur client n’aurait pas à trouver la mort cette nuit.
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Néo, pensées : Ouf ! Alors, ça y est ? Ainsi donc, leur chef était… Wiliam ? Parbleu, il a rudement bien joué son coup ! Je n’aurais jamais cru ça de lui…
Néo ne baissa pas sa garde pour autant. Le combat n’était pas encore terminé, il ne le serait que lorsque l’ennemi aurait accepté de partir en échange de la vie de leur chef.
Bandit : Mais…
Combattant : Qu’est-ce que vous racontez ? Ce n’est qu’un valet ! Il ne peut pas être notre employeur !
Épéiste : Bah oui, c’est logique, c’est une ruse de notre ennemi pour nous forcer à rendre les armes !
Chevalier : Je n’en suis pas si sûr. Après tout, nous ignorons qui est notre employeur…
Voleur : Tu voudrais qu’on aille demander au boss ?
Hors-la-loi : On ne va quand même pas déranger le chef juste pour ça ! Moi je suis sûr que…
??? : Qu’est-ce qui se passe ici ? Pourquoi vous arrêtez-vous de vous battre ?
Combattant : Chef ! Chef Moloch !
Un homme sortit de la pénombre. Il s’avança en marchant, calmement. Néo, jaugeant rapidement sa force, constata qu’il était de la classe supérieure ! Le chef des mercenaires de Gaïa déglutit. En aucun cas, il ne faudrait affronter ce type, il était bien trop fort même pour eux tous réunis !
Moloch, T2 Héros : Eh bien ? J’attends, que se passe-t-il ?
Voleur : Il semblerait qu’ils aient trouvé notre employeur, chef !
Moloch : Ah, vraiment ?
Moloch regarda en direction de la porte principale, et vit Xena et Wiliam. Ce dernier détourna le regard, comme honteux. Moloch s’exclama.
Moloch : Ah ! Alors comme ça, ta couverture a fini par sauter ? Je n’aurais jamais cru cela possible… Mais bordel, quelle erreur grossière tu as pu commettre ? J’étais persuadé que tu ne te ferais pas prendre, c’est pour ça que j’avais accepté ce contrat risqué…
Épéiste : Chef Moloch ! Alors, ce type est bien notre employeur secret ?
Moloch : Oui ! Enfin, sauf que le secret est tombé désormais. Jeune fille, que demandes-tu ? Que nous capitulions, c’est ça ? En échange tu laisseras la vie sauve à Wiliam ? Bah ! Bouah ah ah ah !
Hors-la-loi : Pourquoi vous riez, chef ?
Moloch : En l’état actuel des choses… Nous n’avons pas de marge de manœuvre. Impossible de tenter de sauver Wiliam, cette donzelle le tuerait avant que nous ne les atteignons. Si seulement nous étions en plein jour, encore, nous aurions pu utiliser nos balistes… Mais bon, tant pis ! On ne pourra pas le sauver ! Cependant, Wiliam, tu restes seul décideur… Que décides-tu ? Veux-tu qu’on accepte les conditions de l’ennemi ? Ou bien, préfères-tu te sacrifier, pour que l’on puisse continuer le combat ?
Le sang de Néo se glaça, toutefois, il se maîtrisa pour ne rien laisser paraître. Si Wiliam était prêt à se sacrifier, tout était perdu.
Wiliam : Je… Je renonce… Je ne veux pas mourir ! Je suis désolé, Moloch… Vous devrez vous contenter de l’acompte que je vous ai versé… J’espère que vous saurez me pardonner…
Moloch : Bouah ah ah ! Ne t’en fais pas, mon vieux ! J’aurais fait le même choix que toi, à ta place ! Je ne suis pas fou ! L’acompte ne suffira pas à remplacer les pertes que nous avons subies… Mais bon, ça fait partie du job : il y a des hauts, et des bas… Les gars, on remballe ! Partez d’ici tout de suite ! On se retrouve au point que vous savez.
https://www.youtube.com/watch?v=yiZPu7qG0p8
Les ennemis retournèrent alors dans les épaisses ténèbres de la nuit… Néo poussa, en son fort intérieur, un profond soupir de soulagement.
Moloch fut le dernier à partir. Il s’assurait que tous ses hommes soient partis avant lui.
Moloch : Si j’ai bien compris… Vous êtes la Milice de Gaïa ?
Néo : Oui. Enfin, nous avons subi quelques petits changements, mais… Oui, on peut dire que nous sommes toujours la Milice de Gaïa. Et vous ? Vous êtes les mercenaires de Moloch, c’est ça ?
Moloch : Bouah ah ah ! Non, en fait, j’ai repris le groupe de mon père. Les mercenaires de Cipion. Et donc, je suis Moloch, leur chef. Chez vous, c’est toi le chef, je parie ?
Néo : Eh bien… Oui. Enfin, je ne suis pas seul, nous sommes deux.
Moloch : Alors, cette dame est aussi la cheftaine ! J’hésitais quelque peu. C’est drôle, ça, un groupe avec deux têtes… Vous arrivez à vous entendre ?
Néo : Il faut croire…
Moloch : Bouah ah ah ! Eh bien… Mercenaires de Gaïa, j’espère qu’on se reverra un jour. Dans des circonstances moins tendues peut-être. J’aimerais me mesurer à vous, pour voir lequel d’entre nous est le plus fort. Pour l’heure, je dois partir. Au revoir !
Néo : Au revoir.
Et Moloch disparut, à son tour, dans les ténèbres…
Néo, pensées : Pfiou ! Cela aurait pu très mal tourner ! C’est drôle, cette discussion que nous avons eu… Il n’est peut-être pas mauvais, au fond. C’est vrai que, mercenaire, ce n’est pas un métier facile…
Néo prit enfin le luxe d’abaisser ses armes. Le calme retombé, il se rendit compte qu’il avait des courbatures à force de s’être battu de nuit, au lieu de dormir. Il s’étira longuement afin de se remettre d’aplomb. Le combat était terminé, et la mission était un succès : leur client n’aurait pas à trouver la mort cette nuit.
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