Tandis que Kurtis attendait naïvement la suite des opérations, cherchant le bon moment pour poser les questions qu'il souhaitait poser à Lamne, on vint se diriger vers lui. C'était Signy :
- Kurtis, voulez-vous bien me suivre rapidement s’il vous plait ? J’aimerais juste confirmer une hypothèse, et je pense que vous êtes le plus à même de la confirmer ou l’infirmer, expliqua t-elle alors.
Bien sûr, cela ne dérangeait pas Kurtis d'aider sa camarade alors il hocha simplement la tête en guise d'acceptation. Seulement, la jeune stratège, qui n'avait pas du remarquer son hochement de tête, sûrement trop timide pour être visible, lui saisit la manche afin de le tirer ailleurs. À ce moment précis, Kurtis sentit que quelque chose ne tournait pas rond et qu'il devait commencer à craindre pour ses affaires ou même sa vie :
- Voilà, je vous ai attiré à l’écart par égard pour vous. Je vais maintenant vous le demander directement : Y a-t-il des éléments de la mission que vous ne comprenez pas ou pensez-vous manquer des informations ?
Normalement, Kurtis aurait répondu positivement mais il ne connaissait pas suffisamment la femme face à lui pour lui révéler quoi que ce soit, de plus, elle l'avait tirer à part et si altercation il y avait, ce serait parole contre parole et tout le monde sait qu'un chaman est plus dispensable qu'un stratège. Au lieu de répondre, craignant que ces paroles ne soient altérés, il maintint son regard vide, en direction de la stratège :
- Une carotte non-préparée, ce ne pouvait être qu’une tentative de soudoiement de Lamne, surtout qu’elle a atterrit dans ses pattes. Vous vouliez lui demander quelque chose, mais après vous avez essayé de demander à Sir Arnold pendant le repas, obtenant la réponse que nous savons tous deux. Pourtant vous n’avez pas tenté de reposer la question malgré le fait qu’il vous aie invité à le faire devant nous, donc soit c’était une question personnelle, soit quelque chose que vous ne vouliez pas admettre devant vos compagnons. Pourtant, après, vous avez recommencé à montrer de l’attention à Lamne, qui est un homme simple, il ne vous aurait pas jugé, d’où votre tentative. Pourtant, lier Lamne et sir Arnold n’est pas évident, sauf en parlant de la mission. Mais pour demander à Lamne, il fallait que ce ne soit pas quelque chose de trop compliqué. Après tout, il a du mal avec les concepts Beorcs et il n’a aucune raison de savoir quoi que ce soit de particulier sur Ghysitia. Ai-je raison de penser, du coup, que vous avez manqué partie ou l’intégralité du sujet de notre mission et que donc vous tentez d’en savoir plus ?, continua alors la stratège.
Elle semblait avoir remarquer tout les éléments essentiels et pourtant les questions qu'il souhaitait poser à Arnold ainsi qu'à Lamne n'avait aucun rapport. D'un côté, il souhaitait débusquer des réseaux de mages locaux afin de remonter à la source de tout ces problèmes et de l'autre, il souhaitait juste connaître les divers informations sur la mission qu'ils exécutaient afin de pouvoir au mieux se rendre utile. Seulement voilà, Kurtis garda encore une fois le silence à cause du personnage ô combien énigmatique et potentiellement dangereux qui se tenait devant lui :
- Ecoutez… Si j’ai raison, il est inutile d’essayer d’être discret, tôt ou tard vos collègues se rendront bien compte que vous ne comprenez pas ce que vous faites, ce qui sera d’autant plus dangereux car non seulement, vous serez jugés comme vous le craignez probablement de ne pas avoir toutes les informations mais en plus, vous allez décevoir bien plus que si vous auriez admis plus tôt manquer d’informations car une fierté que l’on est incapable de mettre de côté n’est jamais une bonne chose, jamais. Dans l’hypothèse bien évidemment que j’ai raison. Dans ce cas, parlez-en à Néo directement, ce sera plus honnête. Et si j’ai tord et que quelque chose d’autre vous pose question, en ce cas je vous invite aussi à en parler à Néo, avec qui vous serez prochainement, fini alors Signy.
Kurtis remarqua finalement qu'il se tenait depuis tout ce temps dans l'erreur. Signy n'avait peut-être pas de mauvaises intentions finalement et ses conseils étaient juste, quand bien même il risquait de gêner Néo dans le processus. Seulement, quand il voulut parler, il venait de remarquer que Signy était déjà partie. Heureusement, tout de même, il pu entendre la fin des "ordres" que donnait Arnold à ses camarades et chefs. Alors, quand on lui demanda de se prononcer, il déclara :
- J'imagine que c'est mieux qu'on aille dans la salle du trône ; la caserne des chevaliers sacrés et dans les rues des hauts quartiers parce qu'honnêtement, Kas... Enfin le pape à l'air trop sympathique pour être coupable et puis, c'est lui qui est le mieux placé pour y enquêter donc s'il n'a rien signaler, c'est peut-être qu'il n'y a rien...
Après ces quelques paroles, il s'arrêta brièvement avant d'inspirer et de demander à Néo :
- Au fait, j'ai raté le briefing de la mission du coup, est-ce que vous pourriez m'expliquer ce que nous faisons ici ?
Il se retourna alors brièvement avant même que Néo n'ai le temps de répondre afin d'adresser un sourire victorieux à Signy suivit d'un timide "merci" que lui seul pouvait entendre...
- Kurtis, voulez-vous bien me suivre rapidement s’il vous plait ? J’aimerais juste confirmer une hypothèse, et je pense que vous êtes le plus à même de la confirmer ou l’infirmer, expliqua t-elle alors.
Bien sûr, cela ne dérangeait pas Kurtis d'aider sa camarade alors il hocha simplement la tête en guise d'acceptation. Seulement, la jeune stratège, qui n'avait pas du remarquer son hochement de tête, sûrement trop timide pour être visible, lui saisit la manche afin de le tirer ailleurs. À ce moment précis, Kurtis sentit que quelque chose ne tournait pas rond et qu'il devait commencer à craindre pour ses affaires ou même sa vie :
- Voilà, je vous ai attiré à l’écart par égard pour vous. Je vais maintenant vous le demander directement : Y a-t-il des éléments de la mission que vous ne comprenez pas ou pensez-vous manquer des informations ?
Normalement, Kurtis aurait répondu positivement mais il ne connaissait pas suffisamment la femme face à lui pour lui révéler quoi que ce soit, de plus, elle l'avait tirer à part et si altercation il y avait, ce serait parole contre parole et tout le monde sait qu'un chaman est plus dispensable qu'un stratège. Au lieu de répondre, craignant que ces paroles ne soient altérés, il maintint son regard vide, en direction de la stratège :
- Une carotte non-préparée, ce ne pouvait être qu’une tentative de soudoiement de Lamne, surtout qu’elle a atterrit dans ses pattes. Vous vouliez lui demander quelque chose, mais après vous avez essayé de demander à Sir Arnold pendant le repas, obtenant la réponse que nous savons tous deux. Pourtant vous n’avez pas tenté de reposer la question malgré le fait qu’il vous aie invité à le faire devant nous, donc soit c’était une question personnelle, soit quelque chose que vous ne vouliez pas admettre devant vos compagnons. Pourtant, après, vous avez recommencé à montrer de l’attention à Lamne, qui est un homme simple, il ne vous aurait pas jugé, d’où votre tentative. Pourtant, lier Lamne et sir Arnold n’est pas évident, sauf en parlant de la mission. Mais pour demander à Lamne, il fallait que ce ne soit pas quelque chose de trop compliqué. Après tout, il a du mal avec les concepts Beorcs et il n’a aucune raison de savoir quoi que ce soit de particulier sur Ghysitia. Ai-je raison de penser, du coup, que vous avez manqué partie ou l’intégralité du sujet de notre mission et que donc vous tentez d’en savoir plus ?, continua alors la stratège.
Elle semblait avoir remarquer tout les éléments essentiels et pourtant les questions qu'il souhaitait poser à Arnold ainsi qu'à Lamne n'avait aucun rapport. D'un côté, il souhaitait débusquer des réseaux de mages locaux afin de remonter à la source de tout ces problèmes et de l'autre, il souhaitait juste connaître les divers informations sur la mission qu'ils exécutaient afin de pouvoir au mieux se rendre utile. Seulement voilà, Kurtis garda encore une fois le silence à cause du personnage ô combien énigmatique et potentiellement dangereux qui se tenait devant lui :
- Ecoutez… Si j’ai raison, il est inutile d’essayer d’être discret, tôt ou tard vos collègues se rendront bien compte que vous ne comprenez pas ce que vous faites, ce qui sera d’autant plus dangereux car non seulement, vous serez jugés comme vous le craignez probablement de ne pas avoir toutes les informations mais en plus, vous allez décevoir bien plus que si vous auriez admis plus tôt manquer d’informations car une fierté que l’on est incapable de mettre de côté n’est jamais une bonne chose, jamais. Dans l’hypothèse bien évidemment que j’ai raison. Dans ce cas, parlez-en à Néo directement, ce sera plus honnête. Et si j’ai tord et que quelque chose d’autre vous pose question, en ce cas je vous invite aussi à en parler à Néo, avec qui vous serez prochainement, fini alors Signy.
Kurtis remarqua finalement qu'il se tenait depuis tout ce temps dans l'erreur. Signy n'avait peut-être pas de mauvaises intentions finalement et ses conseils étaient juste, quand bien même il risquait de gêner Néo dans le processus. Seulement, quand il voulut parler, il venait de remarquer que Signy était déjà partie. Heureusement, tout de même, il pu entendre la fin des "ordres" que donnait Arnold à ses camarades et chefs. Alors, quand on lui demanda de se prononcer, il déclara :
- J'imagine que c'est mieux qu'on aille dans la salle du trône ; la caserne des chevaliers sacrés et dans les rues des hauts quartiers parce qu'honnêtement, Kas... Enfin le pape à l'air trop sympathique pour être coupable et puis, c'est lui qui est le mieux placé pour y enquêter donc s'il n'a rien signaler, c'est peut-être qu'il n'y a rien...
Après ces quelques paroles, il s'arrêta brièvement avant d'inspirer et de demander à Néo :
- Au fait, j'ai raté le briefing de la mission du coup, est-ce que vous pourriez m'expliquer ce que nous faisons ici ?
Il se retourna alors brièvement avant même que Néo n'ai le temps de répondre afin d'adresser un sourire victorieux à Signy suivit d'un timide "merci" que lui seul pouvait entendre...